Elections municipales Meylan 2014 : citoyens ! Mobilisez-vous !

Citoyens de Meylan, on a profité de votre crédulité et de votre gentillesse ! Votre Maire, Mme Marie-Christine Tardy est mise en examen et est empêtrée dans les affaires jusqu’au cou ! Un de ses anciens adjoints se propose de la remplacer. Il ne l’aurait pas fait si le Maire avait fait son travail avec intégrité et avec loyauté. Madame Le Maire de Meylan a décidé de trahir ses concitoyens en violant de manière honteuse l’intérêt général, le vote doit donc se reporter sur une liste intègre et efficace à même de pleinement remplacer des gens à se servir d’abord eux-mêmes avant de servir leurs concitoyens !

J’ai entendu dire que certains citoyens taxaient M. Michel Bernard de traître car il a dénoncé les agissements honteux de Mme Tardy. Las, on ne peut être taxé de traitre lorsque l’on défend la société ! Les véritables traitres sont Madame Marie-Christine Tardy et son mari qui ont utilisé abusivement leur position et leur pouvoir pour se servir ! Ils vont même aujourd’hui jusqu’à utiliser leur fils pour monter un site web afin de fustiger les positions de M. Bernard ! De part l’utilisation de leur famille proche, ils rejoignent des pratiques honteuses que Messieurs Balkany, à Levallois-Perret, et Messieurs Tibéri, à Paris, ont fait avant eux !

Le mode de défense signe un véritable aveu : on essaie de vous faire croire que Mme Tardy ne savait pas que son mari faisait des affaires sur Meylan car ils n’en discutaient pas à table le soir ! Ceci est ridicule et Mme Tardy nous ferait presque croire que son mari ne savait pas que sa femme était Maire de la commune dans laquelle il faisait des affaires ! A les entendre, ils ne savaient rien alors même que des documents de la Mairie prouveraient le contraire, ce qui a mené à la plainte contre X déposée par M. Bernard !

Ne vous trompez donc pas en dénonçant les traitres ! Trahir un traître, ce, pour l’intérêt général, ce n’est pas de la trahison, c’est servir son pays !

En attendant, voici quelques éléments pour remettre les informations à leur place et qui contredisent l’aspect « blanc-comme-neige » dont veut se parer Marie-Christine Tardy !

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La maire de Meylan mise en examen pour corruption passive

Le Point.fr – Source AFP – Publié le 24/07/2013 à 19:22
Marie-Christine Tardy aurait choisi des promoteurs immobiliers à qui elle faisait verser des subventions, et imposait en échange le cabinet d’architecte de son mari.

Le procureur de Grenoble a requis mercredi la mise en examen de la maire (ex-UMP) de Meylan (Isère), Marie-Christine Tardy, pour corruption passive dans le cadre d’une enquête sur un « système » de rémunération au profit de son mari par le biais de programmes immobiliers. Le procureur Jean-Yves Coquillat a aussi demandé la mise en examen du mari de Marie-Christine Tardy pour recel de corruption et recel de prise illégale d’intérêts. Une information judiciaire, confiée à deux juges d’instruction, a été ouverte pour corruption passive, prise illégale d’intérêts et recel, a précisé le procureur au cours d’un point de presse.

Placés en garde à vue mardi matin, les époux Tardy étaient présentés à un juge d’instruction mercredi après-midi. Ouverte en avril, l’enquête préliminaire a mis au jour un « système » dans lequel « Mme Tardy choisissait des promoteurs immobiliers à qui elle faisait verser des subventions », officiellement pour qu’ils réalisent des logements sociaux, selon la même source. Mais en échange de ces subventions, le parquet estime que Marie-Christine Tardy « imposait en sous-traitant le cabinet d’architecte de son mari qui percevait des sommes conséquentes ».
Subventions de plus d’1,1 million d’euros

Le cabinet de M. Tardy « n’apparaissait en général nulle part dans aucune réunion, sur aucun document », a précisé le procureur. Rappelant que les époux Tardy bénéficiaient de la présomption d’innocence, le procureur a en outre souligné qu’ils niaient les faits « entièrement ». Selon ses déclarations en garde à vue, « Mme Tardy ignorait que son mari avait travaillé à des projets sur Meylan », a-t-il dit. « Ils ne parlaient jamais chez eux de choses comme ça. Elle l’a appris par la presse », a-t-il ajouté.

Quant à M. Tardy, il dit n’avoir jamais fait part des travaux réalisés sur Meylan à sa femme, pourtant maire de la commune. « Avant la lecture de la presse, chacun ignorait ce que faisait l’autre », aux dires des époux, a précisé le procureur. Jean-Yves Coquillat n’a pas souhaité préciser le montant des honoraires touchés par le cabinet de M. Tardy dans le cadre des programmes immobiliers visés par l’enquête. La mairie de Meylan a versé des subventions de plus de 1,1 million d’euros au total sur les trois programmes immobiliers en cause, a-t-il néanmoins dit.
« L’enquête est loin d’être terminée »

« L’enquête est loin d’être terminée », a annoncé le procureur. « Il va falloir s’orienter vers les entreprises qui ont participé à ces travaux. Pour qu’il y ait corruption, il faut qu’il y ait un corrupteur et un corrompu », a-t-il rappelé. L’affaire avait éclaté fin avril à la suite de plaintes contre X pour « détournement de fonds publics, favoritisme et prise illégale d’intérêt » déposées par le premier adjoint de la maire de Meylan, Michel Bernard, ainsi que par un architecte. Par la suite, « d’autres adjoints et des fonctionnaires municipaux ont tenu à se manifester » par écrit ou directement auprès de la police, selon Jean-Yves Coquillat.

« Il est bien évident que la période électorale qui se présente favorise les épanchements », a ironisé le magistrat, en référence aux élections municipales de 2014. Marie-Christine Tardy avait été exclue de l’UMP en mai 2012 pour s’être présentée comme candidate dissidente aux élections législatives dans la première circonscription de l’Isère. Elle s’était aussi fait connaître en 2007 pour s’être opposée à la candidature aux législatives d’Alain Carignon, ancien député et maire de Grenoble, condamné pour corruption, dans la même circonscription.

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Un article de proxi-city.com daté du 23 Novembre 2013

http://www.proxi-city.com/actualite-marie-christine-tardy-maire-meylan-mise-en-examen-corruption-passive-71428.html

Marie-Christine Tardy, maire de Meylan, mise en examen pour corruption passive

En juillet dernier, la garde à vue de Marie-Christine Tardy et de son époux avait fait grand bruit. La maire de Meylan était soupçonnée d’avoir favorisé des promoteurs qui, en échange, faisaient travailler le cabinet d’architectes de son mari. Pour cela, elle écope d’une nouvelle mise en examen.

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Un article de Actucity.com

 Meylan: La maire Marie Christine tardy mise en examen pour corruption passive

Détails
    Catégorie parente: Politique   
    Catégorie : En France   
    23 Nov 2013
    Publié le samedi 23 novembre 2013 11:45
    Écrit par Actucity

En juillet dernier, à Meylan la garde à vue du maire, Marie-Christine Tardy et de son époux avait fait grand bruit. La maire de Meylan était

soupçonnée d’avoir favorisé des promoteurs qui, en échange, faisaient travailler le cabinet d’architectes de son mari. Pour cela, elle écope d’une nouvelle mise en examen. Si en juillet Marie-Christine Tardy était ressorti de sa garde à vue avec une mise en examen limitée à la prise illégale d’intérêts, elle est à présent soupçonnée « de corruption passive pour acceptation, sollicitation d’avantage par un élu public. » Ce nouveau chef d’inculpation apparaît dans une ordonnance de la Cour d’appel de Grenoble que France 3 Alpes a pu se procurer.
La corruption passive (article 432-11 du Code pénal) est reconnu (pour l’instant on en est encore à l’étape des soupçons dans l’affaire Tardy) lorsqu’une personne exerçant une fonction publique profite de cette fonction en sollicitant ou en acceptant des dons, promesses ou avantages en vue d’accomplir ou de s’abstenir d’accomplir un acte de sa fonction. Dans la loi, cette personne reçoit le nom de corrompu. -Pour Marie-Christine Tardy: corruption passive, sollicitation d’avantage par un élu public; prise illégale d’intérêts par un élu public dans une affaire dont il assure l’administration ou la surveillance; prise illégale d’intérêts par un élu public dans une affaire dont il assure le paiement ou la liquidation.

-Pour Michel Tardy: recel et corruption active pour proposition ou fourniture d’avantage à un élu public

Ouverte en avril, une enquête préliminaire aurait mis au jour un « système » dans lequel Mme Tardy choisissait des promoteurs immobiliers à qui elle faisait verser des subventions, officiellement pour qu’ils réalisent des logements sociaux.

Les deux hommes qui ont rendu l’affaire publique, un Adjoint au maire et un architecte, voient leur constitution de partie civile jugée irrecevable. (source france 3.fr)

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